Réalisation : Gioacchino Petronicce
Version HD disponible ! Ne vous en privez pas !
Coming soon chez Pix'n Love ! Saurez-vous trouver les quelques indices planqués ici et là ?
A saga mythique, ouvrage mythique. Metal Gear Solid est une licence au rayonnement mondial qui a su captiver des millions de joueurs grâce à son scénario très riche et au charisme de Solid Snake, son héros. Aujourd’hui, elle fait référence dans le domaine de l’infiltration et chaque sortie de jeu est un évènement.
Afin de décrypter et de rendre hommage à cette grande série du jeu vidéo, les éditions Pix’n Love et Console Syndrome, plébiscitées pour l’ouvrage Zelda - Chroniques d’une saga légendaire, infiltrent l’univers de la licence avec Metal Gear Solid. Cet ouvrage unique chronique sur plus de 200 pages l’intégralité des titres de la série, du premier épisode paru en 1987 au dernier Metal Gear Solid - Peace Walker de 2010.
L’univers y est décrypté à travers des réflexions efficaces et des analyses pertinentes. Pour rendre justice à ses incroyables créateurs, l’ouvrage apporte également un historique sur Konami et son poulain, Hidéo Kojima, père de la série Metal Gear. Metal Gear Solid, est à posséder absolument pour tous les fans de la série et vous dévoilera l’incroyable richesse de son univers.
En deux mots :
• Un ouvrage unique dans la lignée de Zelda, Chronique d’une saga légendaire.
• Des anecdotes inédites sur le développement de la série Metal Gear Solid.
• Une analyse pertinente sur cette saga mythique.
• Une vision globale et inédite d’un chef d’oeuvre du jeu vidéo. Format : 160x240mm Couverture : Cartonnée, Vernis sélectif Pagination : 208 Impression : Noir & Blanc
C'est par ici FREEEEEEEEEEEEEEEZE !
Oh qu'elle est fière, notre Marie, avec son tout premier Pix qu'elle a géré (presque) à 100% toute seule !
L'arrivée d'un nouveau Pix est toujours un événement pour nous et pour nous-mêmes, et ce numéro aux couleurs de PaperBoy en est un exemple de plus. KOI KILY A DEDANS ? KOI KOM JEUX ? KOI KON VA SE REGALER AVEC ?
Au sommaire de cette première édition de l'année apocalyptique (2012).
Retrouvez des titres obscurs comme on les aime, des titres moins obscurs, voire brillants comme on les aime, des trivias comme on les aime, des anecdotes comme on les aime, des interviews comme on les aime, des bons vieux Cauldron, Rescue on Fractalus, des Golden Axe comme on les aime, bref des pages jolies et belles, comme on les aime.
Comme un bonheur n'arrive jamais seul, une petite interview de l'homme au 12000 jeux vous permettra de comprendre que tout collectionneur que nous sommes, nous ne sommes que des lapins devant l'immensité cosmique (que l'on aime aussi !)
Et pour couronner le tout, retrouvez une tripotée d'interviews exclusives en compagnie de Breighton Dawe (Paperboy), Naoki Suda (Shikigami no Shiro), Louis-Marie et André Rocques (fondateurs de Silmarils), Charles Deenen (The Lost Vikings), David Fox (Rescue on Fractalus), Richard Leinfellner (Cauldron) et autres joyeusetés pixellisées !
Truffé de rencontres mémorables et d’anecdotes croustillantes, Pix’n Love #18 est un excellent moyen de bien débuter l’année… !
EN AVANT PIX 18 !! c'est par ici...
Il paraît que Sonic souffle ses 20 bougies... Voilà qui tombe à pic !
Quelle aventure… ! On se souvient encore fébrilement de l’épisode Bible NES/Famicom, et voilà qu’on renquille en cette fin d’année avec un second poids lourd, assurément le plus ambitieux paru jusque-là aux Editions Pix’n Love : L’Histoire de Sonic !
Et croyez-nous, cet audacieux projet n’a pas été une promenade de santé ! Oh non ! Nous vous avions promis de changer le fusil d’épaule, c’est désormais chose faite : SEGA fait une entrée fracassante dans le catalogue Pix’n Love via sa mascotte porte-bonheur, et pas n’importe comment de surcroît ! C’est que nous avons décidé de faire les choses en grand : pour la première fois en 4 ans, la modeste maison d’édition qu’est la nôtre a franchi un nouveau cap en s’offrant ni plus ni moins la licence officielle Sonic auprès de la firme d’Haneda ! On vous épargnera toute la délicatesse de la chose, pour se focaliser davantage sur les atouts d’une telle collaboration. Car oui, L’Histoire de Sonic a été réalisé en partenariat direct avec SEGA Japon. Et on n’en est pas peu fiers !
Unique au monde (si si !), cet énorme pavé de 300 pages 100% couleurs affichant un bon 1,5kg, retrace l’extraordinaire aventure du célèbre hérisson bleu, des premiers croquis au début des années 1990 jusqu’à l’opus anniversaire – Sonic Generations – sonnant comme un vibrant hommage. A travers des anecdotes exclusives, des interviews, des artworks, des dessins inédits, cet ouvrage ultime vous dévoilera la face cachée de Sonic et vous ouvrira les portes de son univers atypique et débordant d’imagination,foi de Pix’n Lovers ! D'ailleurs, on vous invite prestement à juger sur pièce en cliquant ici pour consulter la dizaine de pages dispo sur notre site.
Et parce que nous sommes des fétichistes de première catégorie – comprenez par là de grands psychopathes collectionneurs de belles choses – L’Histoire de Sonic s’impose comme un véritable livre objet ! Format panoramique en 23X21 cm., papier glacé haut de gamme de 170 gr., couverture cartonnée et tranche fil en tissu bleu. Autant vous dire qu’on a mis le paquet ! Et même plus encore !
Un collector exclusif L’Histoire de Sonic !
Ben oui, on a craqué… ! On a « lamentablement » succombé à l’appelle de la version collector suprême ! Le genre d’ouvrage qui fera sensation dans votre bibliothèque, à n’en point douter.
Cette version inédite en tirage limité comprend :
- Une couverture cartonnée avec son illustration exclusive
- Une typographie « Or » dorée à chaud.
- Un tranche fil, bleu, aux couleurs de Sonic
- Un numéro de série unique
Attention, ce tirage limité est exclusivement réservé dans le cadre des précommandes !
Quand l’Histoire de Sonic nous sera-t-il livré ?
Les précos c’est bien, nous direz-vous. Mais les livraisons dans tout ça ? A-t-on une chance d’avoir le livre sous le sapin de Noël ? Une chose est certaine : on fait tout pour ! À vrai dire, le bouquin est même totalement terminé : rédaction, mise en page and co. Il ne manque plus que l’approbation finale des grandes instances de SEGA Japon ! Licence oblige, le moindre petit détail est passé au crible par les spécialistes de la firme : vérification des informations textuelles, des visuels, etc. La routine, quoi… Mais rassurez-vous : leur travail est déjà bien avancé et nous attendons leur feu vert dans les semaines qui viennent. Et si jamais Noël venait à passer, voilà une formidable occasion de bien commencer l’année 2012 !
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Découvrez le sommaire détaillé et les visuels consultables sur notre site en cliquant ici !
Si ça, c'est pas une surprise ! Ni vu, ni connu, voilà que nos petits frères toulousains récidivent, quelques semaines, seulement, après le luxueux DownLoad avec un ouvrage magnifique sur la saga de Link... Toutes ses aventures décortiquées... Le rêve ! Mais voici le mail que nous avons reçu il y a une poignée d'heures. Nous en sommes encore tout tremblants...
De mémoire, nous pensons qu'il n'y a pas de moment plus satisfaisant que d'annoncer la sortie d'un nouvel ouvrage de sa propre confection. D'abord au public bien sûr, destinataire final de notre travail et seul juge de la qualité de celui-ci. Ensuite, à vous, nos parrains, et aux autres professionnels « du milieu », histoire d'apporter notre faible contribution à la valorisation du patrimoine vidéoludique, un terrain que vous avez largement contribué à défricher.
Aussi aujourd'hui, c'est non sans fierté que nous vous faisons parvenir notre nouveau livre : Zelda, chronique d'une saga légendaire. La série Zelda est bien évidemment au panthéon d'un jeu vidéo atemporel. A l'occasion de l'arrivée prochaine de Skyward Sword, il nous paraissait important de faire le point sur cette série mythique. Nous nous sommes alors attelés pendant des mois à arpenter à nouveau des terrains de jeu bien connus, aux quatre coins d'Hyrule. En résulte un pavé, écrit avec le cœur : plus de 200 pages de texte, dédiés à cet univers si singulier, chroniquant l’intégralité des titres de la série, du premier épisode à Twilight Princess, et qui décrypte l’ensemble du contenu à travers des analyses poussées et des réflexions (analyse du gameplay, évolution d’un épisode à l’autre, thématique de chaque épisode, décryptage de la personnalité de Link, place de la musique dans la série, etc.).
L'événement, si important, des vingt-cinq ans de la série méritait bien une fantaisie supplémentaire : un façonnage et un papier de grande qualité, une couverture cartonnée, affublée d'une dorure à chaud, un tranche-fil et un signet. De quoi combler les plus collectionneurs des lecteurs.
Comme souvent, on s'en remet maintenant à vous pour la suite. On compte sur vous ;)
Med et CouCou
Les gars, vous pouvez compter sur nous ! On attend le colis de pied ferme ! Fébriles et excités comme rarement ! Mon dieu, rien que les photos prises à chaud ci-dessous nous mettent dans un émoi pas possible ! Que Zant nous chatouille si ce magnifique grimoire ne trouve pas preneur dans la nuit ! Car c'est ici que ça se passe !
Et si j'étais vulgaire ? Allez, pour une fois ! J'espère que vous saurez pardonner cet écart de langage, mais je ne peux m'empêcher de me le demander suite à l'annonce qui a été faite hier soir par nos petits frères... Serait-ce à Toulouse que les couilles sont les plus grosses ? On est en droit de se poser cette question ! Évidemment, si vous cherchez par là une quelconque hypothèse biologique, je ne m'aventurerai pas sur ce chemin. Nous partageons beaucoup de choses avec nos frères d'armes, mais se comparer l'anatomie ne fait guère partie de nos manières. En dépit des apparences, nous n'en demeurons pas moins des gentlemen.
Trève de digression : de grosses couilles, disais-je. Car oui, Console Syndrôme sort lundi un tout nouveau mook ! Tandis que certains de nos confrères arrêtent ou se posent la question d'arrêter, voilà nos Toulousains qui font fi de tout et proposent une vision novatrice de notre média adoré ! On s'est tous posés la question - avec plus ou moins de véhémence et d'argumentation - sur la mort du jeu vidéo. Celui qu'on a toujours connu, sous sa forme matérielle, en a pris un sérieux coup, c'est indéniable. Blockbusters à outrance, genres balisés, système de commercialisation classique en danger... Et ce qui effraie les plus radicaux d'entre nous, la disparition de la sacro-sainte boîte après celle de la notice et celle d'une presse spé tant adulée. Les constructeurs font la loi. Les éditeurs brandissent l'épée... L'occase est menacée... Bref, sincèrement, il y a de quoi se poser la question.
Mais ceux qui croient profondément en la mort du jeu vidéo devraient sincèrement se pencher sur DownLoad, un mook magnifique et luxueux qui se penche essentiellement sur les jeux dématérialisés. Derrière ce mot, il faut entendre "Indé" plus que l'aspect matériel du jeu. Car c'est bel et bien dans cette voie que l'imagination s'exalte, que l'audace s'enflamme et que la création s'épanouit. Depuis Limbo, il n'est plus permis de douter : c'est là-bas, le vrai eldorado du gamer, le fun, la sensation ! Et lorsque nos amis Med' et Coucou nous ont dévoilé leur projet, nous étions - il faut le reconnaître - tout aussi sceptiques qu'avec leur collection des Sagas du Jeu Vidéo (Assassin's Creed). Comment rentabiliser un pareil projet ?
Et la réponse est là : la paire de couilles, mes amis ! Deux paires de couilles gonflées à la passion ! Et pas des petites couilles recroquevillées sur des comptes d'apothicaires ! Avons-nous pris un coup de vieux chez Pix'n Love ? Tandis que nous voulions nous lancer dans le rétrogaming, alors que si peu, autour de nous, y croyaient ? Merci les gars ! Votre combat est le nôtre ! Vive Toulouse ! Et vive les grosses couilles !
Séb
PS : pour plus d'infos, rendez-vous lundi !
... D'emballer les colis !!
Comme l'a suggéré l'article précédent, vos Pix'n Love 17 sont bien arrivés, dont tous les exemplaires collector que nous avons soigneusement post-ités, marque-pagés et emballés, direction La Poste.
Ça n'a pas été de tout repos, croyez moi. J'ai dû me plier comme une chaise de jardin dans la mini Pix'mobile de Marc, tellement elle était pleine à ras-bord de cartons et autres cageots de La Poste. Une fois arrivés sur le lieu du stock, après avoir pris le temps pour un petit café, quand même, le transporteur nous attendait en compagnie de Seb et Jean-Marc. Super, nous allons pouvoir bosser ! Et là, la porte du garage s'ouvre : Des cartons dans tous les sens et de la poussière partout. Finalement, la bouteille d'Oasis n'était qu'un prélude (bon, ok, j'éxagère).
Au final, nous avons emballé à nous quatre plus de 800 colis, ce qui signifie autant de post-it et de marques pages. Heureusement que les enveloppes ne se collent plus à la salive, le pauvre Jean-Marc aurait fini sec comme une botte de foin ! Tout se déroule sans encombres, jusqu'à ce que l'on s'aperçoive qu'il y a beaucoup plus d'exemplaires que d'adresses. Panique à bord générale jusqu'à ce que Marc se dise : "Et si quelques-unes de mes feuilles d'étiquettes comportant certaines adresses étaient restées sur mon bureau ?" Et hop, un aller-retour de gagné, un !
C'est vers 14 heures, soit quatre heures après notre arrivée, que les Pix 17 sont fin prêts à partir direction La Poste, nous avons bien mérité notre casse-croûte. Allez, direction le Buffalo Grill, avec Seb qui ira demander au gérant s'il veut vendre son flipper Super Mario...
C'est le ventre plein que nous nous attaquons maintenant aux exemplaires du Pix 16 à envoyer aux Fnac et autres librairies. Ce sont plus de 600 DVD que nous avons eu à coller, maintenant, on sait comment ils bossent chez Foxconn et moi, j'ai les poumons remplis de nicotine !
Au final, c'était une bonne journée, ça m'a rappelé cet été quand je bossais dans les expéditions et mieux, je suis reparti avec un exemplaire de Pix 17 que je pourrai lire avant tout le monde !
Tiens, mais que porte Marc sur la tête ?
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Je sens que Seb et Marc vont tomber de leur chaise en lisant le titre, mais tant pis !
Je vais vous parler d'une chose qui m'a étonné lors de mon arrivée ici et que certains d'entre vous ont remarquée sur une photo. Peut-être avez vous déjà fait le lien avec le titre de cet article, je parle bien sûr de la bouteille d'Oasis que Luc, notre maquettiste, garde fièrement sur son bureau. Ce n'est pas une bouteille d'Oasis comme les autres, la vie s'y est développée, elle est à présent garante de tout un éco-système puisant ses ressources dans les fruits, le sucre et les acides. Personnellement, cette bouteille me rappelle de la teurgoule, pour son aspect "J'ai mis une chaussette sale au dessus d'un truc bon", ou alors d'un filtre à café tombé dans la cafetière.
Mais alors pourquoi Luc garde-t-il cette immondice juste à côté de lui ? Parce qu'il faut voir ça, j'ai l'impression d'être dans un vieux film de maison hantée, avec le scientifique barge et ses bocaux suspects. Dr. Luc Strange se livre : "Cette bouteille est un peu comme une mascotte, elle est ici depuis que nous sommes sur Paris (soit depuis Avril dernier) et elle m'a accompagné dans toutes mes misères. Je m'en séparerais lorsque nous quitterons les locaux". C'est beau, une telle amitié.
Ce regard, Luc aurait-il inventé le virus-T ?
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Ca n'en a peut-être pas l'air comme ça, de prime abord, mais l'élaboration d'une couverture est un véritable casse-tête, digne de l'oeuvre d'Erno Kubik, l'inventeur adulé et détestable du Rubik's Cube. Outre le choix souvent cornélien du sujet, c'est avant tout sa réalisation qui relève du haut fait. Il s'agit de réinterpétrer à sa sauce une oeuvre déjà existante, sans la dénaturer, mais en y apportant sa petite touche personnelle. Délicate équation... qui a pourtant excité Luc au plus haut point, notre illustrateur aux mains d'argent lequel, après la composition de l'Histoire de Mario, a dignement relevé le défi de la couverture Pix'n Love #17 aux couleurs de Phantasy Star !
La première subtilité a été de marier des éléments graphiques forts directement tirés du jeu (sprites, décor de fond, etc.), avec des esquisses dessinées pour l'occasion, en l'occurence, les deux monstres. La seconde, plus ardue, a consisté à reproduire une scène caractéristique de ce RPG des années 1980. Luc a ainsi opté pour une "scénographie" rendant à la fois hommage aux combats représentés en vue subjective, mais également aux célèbres donjons en 3D développés par Yuji Naka en personne ! L'occasion de glisser, enfin, un joli petit contre-champ faisant apparaître dans l'oeil du premier ennemi, la scène se déroulant dans le dos du spectateur... Tout un art !
Mais trève de "blablateries", place aux images ! (cliquez dessus pour une résolution en 300 DPI)
Marc
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